La puissance de la joie

la puissance de la joie
J’ai eu le plaisir d’assister à une conférence de Frédéric Lenoir au sujet de son livre « La puissance de la joie ».

Cette conférence m’a beaucoup marquée car en tant que formatrice et coach parmi les quatre émotions de base : la peur, la colère, la tristesse et la joie ce sont les trois premières que j’ai souvent abordées puisque la quatrième allait de soi …
Eh bien, prise de conscience, la joie est peut être la plus importante des quatre car elle est le moteur qui nous fait vibrer et avancer, l’élan créateur de la vie …. elle est donnée à chacun de nous à la naissance et nous la perdons au fil du temps ….
Alors comment l’apprivoiser, la provoquer, la cultiver, la vivre et ainsi mieux gérer les 3 autres émotions ?

Je vous propose ci-après une courte vidéo de Frédéric Lenoir sur la puissance de la joie.

2 commentaires

  1. IMMER MIREILLE   •  

    La joie comme puissance vitale, tout à fait d’accord, mais pas comme quelque chose d’inné, qui serait donné à l’origine, comme un paradis perdu ( de l’enfance, des sociétés primitives, de la vie simple ) qu’il s’agirait de retrouver …

    La joie n’est pas tournée vers un passé que l’on regrette mais vers l’avenir que l’on est prêt à conquérir. Elle est le résultat de l’épreuve que l’on a surmontée, du défi que l’on a relevé, du regard que l’on a séduit, de la chance que l’on a saisie, du danger auquel on a survécu, de la surprise à la sortie ( du tunnel ), elle est l’issue méritoire de l’effort que l’on a consenti. Elle jaillit dans la victoire.

    Et donc d’un combat, d’une bataille, d’une expérience, d’un travail, d’une conquête. Elle s’acquiert. Se construit. Et si elle est davantage propre à l’enfant, c’est que l’enfant, la vie devant soi, tout à apprendre, va plus volontiers de l’avant, multiplie au quotidien les acquis et se montre bien plus grand guerrier que l’on ne croit : en progrès, en croissance, régulièrement gagnant et ayant tout à gagner devant lui. Il est dans le devenir.

    La joie est une émotion dynamique, mobile, active, chaude et lumineuse comme le feu. Faire du feu, cela s’apprend, l’entretenir aussi, l’éteindre et le rallumer aussi, faire des étincelles, des flammes et bûcher du bois aussi, c’est tout un art, tout un métier mais ce n’est pas inné.

    Signé : votre existentialiste. Bien à vous !

    • Michèle Paul   •     Auteur

      Merci Mireille, quelle joie de recevoir un tel message qui vibre de joie !
      La joie de l’enfant serait une joie inconsciente qui évolue avec l’évolution de ses expériences de vie et la formation de sa personnalité.
      Il ne s’agit pas de se tourner vers un passé que l’on regrette mais vers l’avenir en vivant une joie active et consciente qui comme vous le dites si bien s’acquiert, se construit et jaillit dans la victoire.
      J’adore votre métaphore du feu. Seriez-vous prête à aller plus loin dans l’échange pour partager et transmettre cette joie, cette puissance vitale ?

      Très chaleureusemment,

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